"Remettre l'attention
à notre envie"au moment présent"sur nos priorités"à sa place"

L’Echec

“Beaucoup rêvent de succès. A mon sens, le succès ne peut être atteint qu’après une succession d’échecs et d’introspections. En fait, le succès représente 1% de votre travail qui comporte lui, 99% de ce qu’on peut appeler échec.”
Winston Churchill

L’échec, ce mot qui représente un « raté », auquel chacun d’entre nous s’est déjà, ou se confronte à un moment donné de sa vie.

Ressenti

Lorsque nous échouons, ce sont de multiples émotions négatives qui nous envahissent… La déception, la peur, parfois même la honte.

Ces émotions négatives qui nous submergent, doivent être au plus vite écartées, car si on les maintient trop longtemps actives dans nos têtes, elles peuvent avoir des conséquences sur le long terme.

Que l’on soit adulte ou enfant, il faut apprendre à dompter cette frustration, soit grâce à notre intelligence émotionnelle, soit en s’entourant au mieux et à en parler à nos proches bienveillant si on en ressent l’envie.

Conséquences

En réalité les conséquences d’un gros échec peuvent être multiples, financière dans le cas d’un mauvais investissement, familiale également sur certaines situation qui engendre divorce…

Quelque soit l’échec, sur le fond il n’y a que 2 solutions, soit on se relève, et on ressaye, soit on prend peur, et on ne tente plus, on abdique en baissant les bras et dans ce cas on subit la situation.

Plusieurs facteurs vont déterminer nos réaction, tout d’abord notre personnalité.

Le fait d’être combatif ou non, le fait d’avoir eu l’habitude de ne rien lâcher, ou à l’inverse le fait d’avoir eu l’habitude de rater régulièrement ce qu’on entreprend et qui pourrait au final nous décourager.

Environnement Social

L’environnement social est un deuxième facteur, déterminant dans notre façon d’appréhender l’échec.

La famille, l’éducation reçue, conjoint, ami(e)s, proches, ont une influence sur les réactions et la façon dont l’échec est vécu.

Si l’on est entouré de personnes ,qui réussissent ou non, qui baissent les bras facilement ou non; ces facteurs sont extrêmement forts sur l’impact psychologique dont on va appréhender l’échec, et la façon dont nous allons réagir.

L’Education

L’éducation que nous recevons est déterminante.

Si on a reçu une éducation, avec des parents combatifs, qui ne lâchent rien, et ne blâment pas lorsqu’on tombe, nous aurons une faculté à gérer les échecs de façon bien différente que si l’on a reçu une éducation moqueuse ou colérique sur nos échecs.

D’ailleurs, d’instinct, lors de nos premiers mois de vie, qu’on apprend à marcher, à chaque pas ou nous tombons, nous nous relevons, nous pleurons, nous crions de colère parfois, mais au final on insiste… jusqu’à réussir à marcher,

Et finalement, nous marchons tous.

Les Proches

Même si dans notre éducation, nous avons appris à nous relever lorsqu’on tombe, l’entourage proche, lorsqu’on grandit est important.

Avoir des amis, conjoints, proches qui nous aident à prendre le recul, à analyser parfois aussi les raisons d’un échec, aide à voir les choses différemment.

De même si vous avez un entourage qui n’est pas dans la bienveillance, ou dans le jugement, l’échec peut être un frein pour d’autres projets pour la suite, là ou à l’inverse, des personnes ayant réussi après de multiples échec, vous pousseront à persévérer avec certains conseils, et en toute bienveillance.

L’entourage peut jouer un rôle en positif comme en négatif.

A retenir

Ce qui est important de retenir dès le début, c’est que seule les personnes qui ne tentent rien, n’échouent pas… non pas parce qu’ils sont forts, mais par manque de courage de tenter d’entreprendre quelque chose dont ils ne sont pas sûrs de réussir, ou car ils n’en ont pas l’envie.

Mais en fin de compte, qui peut dire lorsqu’il démarre un projet, lorsqu’il entreprend quelque chose qu’il a la certitude de réussir… Personne.

Ce qui est donc important c’est de comprendre, pourquoi nous avons échoué, les raisons qui ont fait que telle ou telle chose n’a pas fonctionné, pour pouvoir mieux se relever.